Jean Cocteau

Jean Cocteau, né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte, mort le 11 octobre 1963 à Milly-la-Forêt, est un poète français, artiste aux multiples talents, graphiste, dessinateur, auteur de théâtre, mais également cinéaste.



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Jean Cocteau - Dramaturge français du XXe siècle - Naissance en 1889 - Décès en 1963 - Membre de l'Académie française - Personnalité du théâtre - Metteur en scène français - Dessinateur de timbres - Peintre français - Poète français - Réalisateur français - Écrivain français du XXe siècle - Librettiste de ballet - Homosexualité dans la littérature - Homosexualité au cinéma en France - Naissance dans les Yvelines - Commandeur de la Légion d'honneur - Nationaliste français

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  • Jean Cocteau sera ambulancier durant la Première Guerre mondiale, avant de se faire réformer en 1916. • Jean Cocteau est élu à l'Académie française le 3... (source : archives.radio-canada)
  • Il réalise aussi des dessins et des fresques. En 1955, Jean Cocteau est élu à l'Académie française ainsi qu'à l'Académie de Belgique.... (source : cinema.encyclopedie.personnalites.bifi)
  • Le 3 mars 1955, Jean Cocteau est élu à l'Académie française par 17 voix contre 11 à Carcopino. Cette élection bouscule bien des convenances.... (source : decitre)
Jean Cocteau
Jean Cocteau par Modigliani, 1919.
Illustration : Jean Cocteau par Modigliani, 1919.
Naissance 5 juillet 1889
Maisons-Laffitte
Décès 11 octobre 1963
Milly-la-Forêt
Nationalité France France
Activité (s) Peintre, cinéaste, poète
Mouvement artistique Art déco, surréalisme

Jean Cocteau, né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte, mort le 11 octobre 1963 à Milly-la-Forêt, est un poète français, artiste aux multiples talents, graphiste, dessinateur, auteur de théâtre, mais également cinéaste. Il fut élève au Lycée Condorcet et fut élu à l'Académie française en 1955. Il compte parmi les artistes qui ont marqué leur époque.

Il côtoya la majorité des artistes qui animèrent la vie artistique de son époque. Il eut une relation durable tant amoureuse que professionnelle avec l'acteur Jean Marais. Il était aussi un ami personnel de la reine Élisabeth de Belgique, une grande passionnée de culture et de musique.

Jeunes années
Le programme du ballet «Parade» en 1920

Jean Cocteau est né à Maisons-Laffitte dans une famille bourgeoise de Paris. Son père, avocat et peintre amateur, se suicide quand Cocteau a neuf ans. Dès l'âge de quinze ans, Cocteau quitte le cocon familial. Il manifeste peu d'intérêt pour les études et n'obtient pas son baccalauréat. En dépit de ses œuvres littéraires et de ses talents artistiques, Cocteau insiste sur le fait qu'il est avant tout un poète et que tout travail est poétique. Il publie son premier livre de poèmes, «La Lampe d'Aladin», à 19 ans (1908). Cocteau devient alors connu dans les cercles artistiques bohémiens comme le "prince frivole". C'est sous ce titre qu'il publie à 21 ans, en 1910, son second recueil de poèmes. Edith Wharton le décrit comme un homme pour qui «chaque grande ligne de la poésie était un lever de soleil, chaque coucher du soleil la base de la ville merveilleuse...» Dans les années 1920, Cocteau s'associe avec Marcel Proust, André Gide et Maurice Barrès. Il est aussi fasciné par le maître des ballets russes, Serge de Diaghilev. De sa collaboration avec l'artiste russe naît «Parade», ballet produit en 1917 par Diaghilev, avec des décors de Pablo Picasso et une musique composée par Erik Satie. Cette œuvre inspire à Guillaume Apollinaire le néologisme de surréalisme, repris ensuite par André Breton et Philippe Soupault pour la création du mouvement culturel qu'on connaît. Cocteau a une grande influence sur le travail des autres, dans le groupe même composé par ses amis : «Les Six».

Amitié puis amour avec Raymond Radiguet

En 1919, il fait la connaissance du poète Raymond Radiguet. Les deux collaborateurs entreprennent énormément de voyages ensemble, Cocteau étant exempté du service militaire. En admiration devant le grand travail littéraire de Radiguet, Cocteau promeut les travaux de son ami dans son cercle artistique, et s'arrange pour faire publier par Grasset Le Diable au corps (une histoire en grande partie autobiographique sur le rapport adultère entre une femme mariée et un homme plus jeune), exerçant son influence pour recueillir le prix littéraire du "Nouveau Monde" pour le roman.

En 1921, il participe avec le Groupe des Six pour le livret argumentaire des Mariés de la Tour Eiffel, œuvre collective qui lance la nouvelle génération musicale en France dans le sillage d'Erik Satie qui en est le mentor.

La réaction de Cocteau à la mort soudaine de Radiguet en 1923 crée un désaccord avec certains proches qui déclarent qu'il l'a laissé désespéré, découragé et en proie à l'opium. Cocteau n'aurait même pas assisté à l'enterrement. Mais Cocteau n'assiste le plus souvent pas aux enterrements. L'auteur quitte alors aussitôt Paris avec Diaghilev pour une représentation de "les Noces" par les Ballets russes à Monte-Carlo. Cocteau lui-même qualifie bien plus tard sa réaction comme une "réaction de stupeur et de dégoût". Son penchant pour l'opium à cette époque-là, Cocteau l'explique comme un simple hasard lié à la liaison fortuite qu'il vit avec Louis Laloy, le directeur de l'opéra de Monte-Carlo. La dépendance de Cocteau envers l'opium et ses efforts pour s'arrêter changent profondément son modèle littéraire. Son ouvrage le plus notable, Les Enfants Terribles, est rédigé en une semaine lors de son laborieux sevrage.

L'amitié de Cocteau avec Radiguet aurait en fait été une liaison amoureuse, intense et fréquemment orageuse, mais aucune preuve ne sert au justifier.

Maturité

Jean Marais en 1949

Dans les années 1930, Cocteau aurait eu une liaison avec la princesse Nathalie Paley, fille morganatique d'un grand duc de Russie, elle-même modiste, actrice ou modèle et ancienne épouse du couturier Lucien Lelong. Elle tombe enceinte, mais la grossesse ne peut être menée à son terme, ce qui plonge Cocteau et Paley dans un profond désarroi. Cocteau entretient ensuite une relation sentimentale de longue durée avec deux acteurs français, Jean Marais et Edouard Dermit, ce dernier officiellement adopté par Cocteau. Il aurait entretenu une relation avec Panama Al Brown   (en) , un boxeur dont il prend en charge la carrière à un moment donné.

En 1940, Le Bel Indifférent, une pièce de Cocteau rédigée pour Édith Piaf, est un énorme succès. Il travaille aussi avec Picasso et Coco Chanel sur plusieurs projets, est l'ami de l'essentiel de la communauté européenne des artistes, et lutte contre son penchant pour l'opium durant la plus grande partie de sa vie d'adulte. Tandis qu'il est ouvertement homosexuel, il a quelques aventures brèves et compliquées avec des femmes. Son travail recèle de nombreuses critiques contre l'homophobie. Jean Cocteau joue un rôle ambigu durant la Deuxième Guerre mondiale, les résistants l'accusent de collaboration avec les Allemands, une partie de son passé (1939-1944) reste mystérieuse. [1]

Cocteau est d'ordinaire assez réservé quant à l'affirmation de son engagement politique. Pendant l'Occupation, il fait montre d'un certain pacifisme ("L'honneur de la France, rédigé-il dans son Journal du 5 mai 1942, sera peut-être, un jour, d'avoir refusé de se battre"), mais en particulier, il n'hésite pas à accueillir Arno Breker, sculpteur officiel du Reich, lors de son exposition à Paris en été 1942.

«L'Allemagne nazie n'est pas non plus sans le séduire, en particulier son chef, dont il se fait une représentation qu'il faut placer au musée des Hitler imaginaires. (... ) Il est fasciné par l'idée du chef-artiste, politique tout-puissant en même temps que mécène et protecteur des arts, à la fois Napoléon et poète ("Chez Hitler, c'est le poète qui échappait à ces âmes de pions", rédigé-il en parlant des dirigeants français de l'avant-guerre).»
    — Philippe Burrin, La France à l'heure allemande, Seuil, 1995, p. 352.

En 1941, la décision, par le préfet de police, d'interdire sa Machine à écrire est annulée par la Propaganda Abteilung, soucieuse de ne pas trop museler la muse française. Reste qu'à la Libération, il est rapidement acquitté par le Comité national du cinéma et le Comité national des écrivains, comités d'épuration devant lesquels il comparaît pour collaboration.

Les films de Cocteau, dont il rédigé et dirige l'essentiel, sont spécifiquement importants pour avoir introduit le surréalisme dans le cinéma français, et influencent, dans une certaine mesure, le genre français de la Nouvelle Vague.

Chapelle Sainte-Blaise des Simples de Milly-la-Forêt, où est enterré Jean Cocteau

Quelques immenses succès firent passer pour toujours Cocteau à la postérité : Les Enfants terribles (roman), Les Parents terribles (pièce de théâtre de 1938), La Belle et la Bête (film de 1946). En 1960, l'artiste tourne Le Testament d'Orphée avec le soutien financier de François Truffaut.

Apprenant le décès de son amie Édith Piaf, Cocteau est pris d'une crise d'étouffement. Il succombe quelques heures plus tard d'une crise cardiaque dans sa demeure de Milly-la-Forêt le 11 octobre 1963 à 74 ans. Il est enterré dans la Chapelle Saint-Blaise-des-Simples à Milly-la-Forêt dans l'Essonne. Sur sa tombe, on peut lire l'épitaphe suivante : Je reste avec vous.

Œuvres littéraires
Poésie
  • 1909 La Lampe d'Aladin
  • 1910 Le Prince frivole
  • 1912 La Danse de Sophocle
  • 1919 Ode à Picasso - Le Cap de Bonne-Espérance
  • 1920 Escale. Poésies (1917-1920)
  • 1922 Vocabulaire
  • 1923 La Rose de François - Plain-Chant
  • 1925 Cri rédigé
  • 1926 L'Ange Heurtebise
  • 1927 Opéra
  • 1934 Mythologie
  • 1939 Énigmes
  • 1941 Allégories
  • 1945 Léone
  • 1946 La Crucifixion
  • 1948 Poèmes
  • 1952 Le Chiffre sept - La Nappe du Catalan (en collaboration avec Georges Hugnet)
  • 1953 Dentelles d'éternité - Appoggiatures
  • 1954 Clair-obscur
  • 1958 Paraprosodies
  • 1961 Cérémonial espagnol du Phénix - La Partie d'échecs
  • 1962 Le Requiem
  • 1968 Faire-Part (posthume)
Romans
  • 1919 Le Potomak (édition définitive : 1924)
  • 1923 Le Grand écart - Thomas l'imposteur
  • 1928 Le Livre blanc
  • 1929 Les Enfants terribles
  • 1940 La Fin du Potomak
Théâtre
Poésie et critique
  • 1918 Le Coq et l'Arlequin
  • 1920 Carte blanche
  • 1922 Le Secret professionnel
  • 1926 Le Rappel à l'ordre - Lettre à Jacques Maritain
  • 1930 Opium
  • 1932 Essai de critique indirecte
  • 1935 Portraits-Souvenir
  • 1937 Mon Premier voyage (Tour du monde en 80 jours)
  • 1943 Le Greco
  • 1947 Le Foyer des artistes - La Difficulté d'être
  • 1949 Lettres aux Américains - Reines de la France
  • 1951 Jean Marais - Entretiens autour du cinématographe (avec André Fraigneau)
  • 1952 Gide vivant
  • 1953 Journal d'un inconnu. Démarche d'un poète
  • 1955 Colette (discours de réception à l'Académie royale de Belgique) - Discours de réception à l'Académie française
  • 1956 Discours d'Oxford
  • 1957 Entretiens sur le musée de Dresde (avec Louis Aragon) - La Corrida du 1er mai
  • 1959 Poésie critique I
  • 1960 Poésie critique II
  • 1962 Le Cordon ombilical
  • 1963 La Comtesse de Noailles, oui et non
  • 1964 Portrait souvenir (posthume ; entretien avec Roger Stéphane)
  • 1965 Entretiens avec André Fraigneau (posthume)
  • 1973 Jean Cocteau par Jean Cocteau (posthume ; entretiens avec William Fielfield)
  • 1973 Du cinématographe (posthume). Entretiens sur le cinématographe (posthume)
Poésie de journalisme
  • 1935-1938 (posthume)

Œuvres cinématographiques

Réalisateur
Scénariste
Dialoguiste
Directeur de la photographie

Poésies graphiques

  • 1924 : Dessins
  • 1925 : Le Mystère de Jean l'oiseleur
  • 1926 : Maison de santé
  • 1929 : 25 dessins d'un dormeur
  • 1935 : Soixante dessins pour [Les Enfants terribles]
  • 1941 : Dessins en marge du texte des Chevaliers de la Table ronde
  • 1948 : Drôle de ménage
  • 1957 : La Chapelle Saint-Pierre, Villefranche-sur-Mer
  • 1958 : La Salle des mariages, hôtel de ville de Menton - La Chapelle Saint-Pierre (lithographies)
  • 1959 : Gondol des morts
  • 1960 : Chapelle Saint-Blaise-des-Simples, Milly-la-Forêt
  • Années 1960 : Vitraux de l'Église Saint-Maximin de Metz

Enregistrements discographiques

  • Colette par Jean Cocteau, discours de réception à l'Académie Royale de Belgique, Ducretet-Thomson 300 V 078 St.
  • Les Mariés de la Tour Eiffel et Portraits-Souvenir, La Voix de l'Auteur LVA 13
  • Plain-chant par Jean Marais, extraits des pièces Orphée par Jean-Pierre Aumont, Michel Bouquet, Monique Mélinand, Les parents terribles par Yvonne de Bray et Jean Marais, L'aigle à deux têtes par Edwige Feuillère et Jean Marais, L'Encyclopédie Sonore 320 E 874, 1971
  • Coffret 3 vinyles Jean Cocteau comprenant La voix humaine par Simone Signoret, 18 chansons composées par Louis Bessières par Bee Michelin et Renaud Marx, au double-piano Paul Castanier, Le discours de réception à l'Académie Française, Jacques Canetti JC1, 1984
  • Derniers propos à bâtons rompus avec Jean Cocteau, 16/09/1963 à Milly-la-Forêt, Bel Air 311035
  • Les enfants terribles, version radio avec Jean Marais, Josette Day, Sylvia Montfort et Jean Cocteau, CD Phonurgia Nova ISBN 2-908325-07-1, 1992
  • Anthologie, 4 CD comprenant nombreux poèmes et textes dits par l'auteur, Anna la bonne, La dame de Monte-Carlo et Mes sœurs, n'aimez pas les marins par Marianne Oswald, Le bel indifférent par Edith Piaf, La voix humaine par Berthe Bovy, Les mariés de la Tour Eiffel avec Jean Le Poulain, Jacques Charon et Jean Cocteau, le discours de réception à l'Académie Française, des extraits des pièces Les parents terribles, La machine infernale, des pièces de Parade au piano à quatre mains par Georges Auric et Francis Poulenc, Frémeaux & Associés FA 064, 1997
  • Poèmes de Jean Cocteau dits par l'auteur, CD EMI 8551082, 1997
  • Hommage à Jean Cocteau, mélodies d'Henri Sauguet, Arthur Honegger, Louis Durey, Darius Milhaud, Erik Satie, Jean Wiener, Max Jacob, Francis Poulenc, Maurice Delage, Georges Auric, Guy Sacre, par Jean-François Gardeil (baryton) et Billy Eidi (piano), CD Adda 581177, 1989
  • Le testament d'Orphée, journal sonore, par Roger Pillaudin, 2 CD INA / Radio France 211788, 1998

Journaux

  • 1946 La Belle et la Bête (journal du film)
  • 1949 Maalesh (journal d'une tournée de théâtre)
  • 1983 Le Passé défini (posthume)
  • 1989 Journal, 1942-1945

Regards sur sa vie et son œuvre

Avis

  • Saïd Taghmaoui (1998)  : «Il a la grâce, le cynisme et l'intelligence de tirer les choses vers lui sans les briser, tout en les froissant; comme les philosophes arabes. Il fait une boucle sur lui-même, plus vite que les autres, et puis une boucle pour le plaisir de narguer ceux qu'il a dépassés.»

Récompenses et distinctions

En 1955, Cocteau était membre de l'Académie française et de l'Académie royale de Belgique.

Dans sa vie, Cocteau fut commandeur de la Légion d'honneur, membre de l'Académie Mallarmé, de l'Académie allemande, de l'American Academy, de la Mark Twain Academy, président d'honneur du Festival du film de Cannes, président d'honneur de l'Association France-Hongrie, Président de l'Académie du jazz et de l'Académie du Disque.

Ouvrages sur Jean Cocteau

  • Claude Arnaud, Jean Cocteau
  • Marie Jemma-Jejcic, Jean Cocteau ou l'énigme du désir. Ce que le poète apprend au psychanalyste, Editions Eres, 2006, 304 p. - ISBN 2-7492-0615-4
  • Monique Lange, Cocteau Prince sans royaume
  • André Fraigneau, Cocteau
  • Jean Marais, Histoires de ma vie
  • Jean Marais, l'Inconcevable Jean Cocteau
  • Nicole Vaillant Dubus, À toi, Jean Cocteau : poète de l'Europe. Colomars : Mélis éditeur, coll. «Lettre à ...», 2003. 32 p., 21 cm. – ISBN 2-914333-51-X
  • Ahmed Youssef, Cocteau l'Egyptien, La tentation orientale de Jean Cocteau, Monaco, Editions du Rocher, 2001, 192p.

Musée

Buste en bronze de Jean Cocteau par le sculpteur Jacques Gestalder. Ce buste est érigé au musée Jean Cocteau à Menton depuis octobre 1969 ainsi qu'à l'Institut de France depuis novembre 2008
  • Plus de 1 500 œuvres représentant 7, 5 millions d'euros ont été offertes à la ville de Menton par le collectionneur américain Severin Wunderman. La ville qui abrite déjà le musée Jean Cocteau compte ouvrir un musée dédié à l'artiste. Il a dessiné les murs de la villa Santo Sospir où il passait ses vacances à Saint-Jean-Cap-Ferrat mais aussi la Chapelle des marins de Villefranche-sur-Mer.

Notes & Sources

  1. Emmanuelle Retaillaud-Bajac, "Les démons de Jean Cocteau", Magazine L'Histoire, n° 279, Septembre 2003.

Voir aussi

Liens externes


Précédé par
Jérôme Tharaud
Fauteuil 31 de l'Académie française
1955-1963
Suivi par
Jacques Rueff

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